Dans les gorges profondes de Pennafort, le chef Philippe Da Silva et sa femme Martine savent déjà ce qu’ils vont proposer à leurs hôtes pour parfaire le repas de Noël. Trois bûches aussi esthétiques que délicieuses.

Et s’il fallait des photos pour le dire, deux ouvrages en apportent la preuve. Préfacés par maître Georges Blanc qui a attentivement suivi la carrière de Bruno et par Gilles Jacob, l’homme à l'éternelle amitié.

Le Grand Prix Littéraire de la Ville d’Antibes Jacques Audiberti a été attribué à l’écrivain d’origine libanaise, Vénus Khoury-Ghata pour l’ensemble de son œuvre. De Paris où elle réside depuis 1972, elle parle avec passion de sa patrie d’origine et des pays du pourtour de la Méditerranée.

En France, en Belgique, au Québec, au Vietnam comme au Liban, il est de tradition de terminer les agapes de Noël par la « bûche ». Une habitude qui remonterait au Moyen-âge et serait liée à la célébration du solstice d’hiver. Une bûche était lentement brûlée dans l’âtre lors de la nuit de Noël et censée garantir une bonne récolte pour l’année suivante. La révolution Internet a succédé à la révolution Gutenberg mais perdure la tradition du dessert pour le plus grand plaisir des amateurs de sucré...

Acteur des Vinofolies, le sommelier du restaurant étoilé de l’Oasis, Pascal Paulze, débriefe :

« Des hélices, astro-jets, whisper jets, clipper jets, turbos... », Robert Charlebois connaît la musique. Les années 70 sont loin, mais toujours fringant, le chantre itinérant de la Belle Province, porte la bonne parole avec autant de force de persuasion et de poésie aussi...