Alors que la France réutilise moins de 1 % de ses eaux usées traitées, d’autres pays européens, comme l’Espagne et l’Italie, exploitent déjà jusqu'à 14 % de cette ressource précieuse pour des usages non potables. Face aux pressions croissantes du changement climatique et aux besoins accrus en eau, il devient crucial pour les villes françaises d’adopter des solutions alternatives pour préserver cette ressource essentielle.

Vue de l’espace, la Terre est une « planète bleue » : les mers couvrent 70 % de sa surface. Cette image poétique masque les dégradations de plus en plus importantes que l’océan subit. Dans le même temps, une prise de conscience de la fragilité de ces milieux est à l’œuvre, partout dans le monde : la Grande Barrière de corail est inscrite au patrimoine mondial, les herbiers de Posidonie de Méditerranée font l'objet d’une protection accrue depuis 2020, et les aires marines gérées par les populations locales se multiplient.

Le greenwashing ou éco-blanchiment, est une méthode de marketing consistant à communiquer auprès du public en utilisant l'argument écologique. Le but du greenwashing étant de se donner une image éco-responsable, assez, voire totalement éloignée de la réalité… Cola-Cola, selon FNE en donne un bel exemple :

Devant les effets collatéraux indésirables de son omniprésence, il est grand temps de trouver des alternatives !

Premier groupe laitier mondial et comptant parmi les 10 premiers groupes alimentaires mondiaux, Lactalis cumule les atteintes à l’environnement et ne semble pas s’en émouvoir. Les experts de France Nature Environnement débriefent :

Le nouveau concessionnaire du port de plaisance, Eiffage, prend en main les destinés de cet ensemble hors normes. Il aura le soutien de la Banque des Territoires et de Sodeports. A sa charge, le financement, la conception, la construction, l’exploitation et la maintenance du port pour une durée de 31 ans.