Archives : « Un plat pour Cannes »…

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Initiative sans lendemain, ce concours ouvert à tous les restaurateurs de la Cité des Festivals, se déroula durant l’hiver 2000. La peur irraisonnée d’une catastrophe numérique savamment entretenue par de peu scrupuleux présumés spécialistes, était déjà loin derrière les préoccupations des Français. l’heure était plutôt aux préparatifs des vacances de fin d’années et de leur agapes… D’où l’idée de ce concours de trouver un plat qui serait typiquement cannois et qui pourrait figurer sur la carte de tous les professionnels de la bonne chère.

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Cannes : juste le temps de déjeuner...

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Le restaurant de l’hôtel du Gray d’Albion propose aux locaux un déjeuner express mais pas que… Notables, employés de bureaux, n’ont le plus souvent que le temps de « manger sur le pouce » tant leur programme est chargé. Ils ont alors le choix, entre un burger, un sandwich, voire un ban bagna, car pas question de s’éterniser dans un restaurant... La terrasse du Gray a compris le problème de cette clientèle spécifique et lui offre un plat (chaud ou froid) au choix, préludé par une soupe maison.

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Cannes : des ruches sur le toit d’un Palace…

A raison de 60 000 abeilles par ruche, ce ne sont pas moins de 240 000 ouvrières, résidentes de l’Hôtel Le Majestic Barrière, qui œuvrent pour produire plus de 90 kilos de miel par an. Une aubaine pour les clients du Palace de La Croisette qui pourront le déguster au petit-déjeuner et dans des cocktails uniques, fruits de l’imagination du barman maison…

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Mougins : et les « Barraques » devinrent le « Val »…

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Le plus court chemin par la route nationale N.567 pour rejoindre Mouans-Sartoux et surtout Grasse, capitale mondiale du parfum, passait et passe toujours par les Barraques devenues opportunément et plus élégamment « Le Val de Mougins ». Au pied du village ce quartier s’est développé lentement. Il ne comptait au début des années 60 que quelques commerces, une épicerie, deux bars, un garage tenu par Mr Mogini (qu’il devait plus tard déménager un peu plus bas, vers le Tournamy). Son nom faisait référence aux casernes napoléoniennes. En ce temps-là, les Cannois accueillaient les Mouginois en disant "Mougins qui calle !"...

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