Éditorial signé par Fernand Dartigues, correspondant du plus grand quotidien francophone de Genève : La Suisse. Depuis fin août 1972, bien des choses... n’ont pas changé.

Une belle exposition visible dans petites salles, sur la terrasse et les jardins de la Villa Logis d’Azur ; onze artistes pour trente trois œuvres illustrant ces deux écoles artistiques qui ont marqué leur temps.

Admirablement situé au centre du premier port privé de France construit en 1965, le Club House connut ses heures de gloire. Inauguré en juillet 1967, il fut gérer à, ses débuts par l’International Sporting Club de Cannes dont le président était Eric Chabrerie, le secrétaire général André Sonnier, par ailleurs sous-directeur du Carlton, et Pierre Blanckaert le directeur. Il eut une triste fin ; en fin de mandat, le maire de la ville Bernard Brochand, appela les Cannois à venir le détruire...

L’entreprise autrichienne de textile a ouvert sa première boutique à Cannes, 9 rue des États-Unis. Avec plus de 70 ans d’expertise, Wolford se positionne en leader du skinwear haut de gamme. Ses nombreuses innovations en matière de produits lui ont valu la réputation d'être une marque avant-gardiste, prête à adopter de nouvelles technologies, tout en continuant à s'appuyer sur un savoir-faire incontournable pour la confection de son offre.

Dans les forêts publiques, l’ONF mène une sylviculture adaptée aux différentes fonctions de la forêt - sociale, environnementale, économique – mais aussi aux saisons. Le printemps, c’est traditionnellement le moment des inventaires naturalistes.

Du 5 au 7 mai, l’Office national des forêts en partenariat avec l’association SylvaLyric et le Centre permanent d’initiatives pour l’environnement (CPIE) îles de Lérins et Pays d’Azur, propose une expérience inédite en forêt : le festival « Vibrez Branché ».

Les premiers jardins ouvriers sont apparus vers les années 1890 mis à la disposition des habitants par les municipalités. Des parcelles de terrain affectées le plus souvent à la culture potagère, et destinées à améliorer les conditions de vie des ouvriers en leur procurant un équilibre social et une auto-subsistance alimentaire. Ils deviendront, après la Seconde guerre mondiale, les « jardins familiaux ». On en compta jusqu’à 250 000 et aujourd’hui, ils bénéficient d'un regain d'intérêt.