Une moyenne, sachant que sur ces 30 kg de déchets, 7 kg de produits sont encore emballés. En tête de gondole les bouteilles en plastique, majoritairement celles qui contiennent de... l’eau. Grâce aux médias et aux écologistes, tout le monde est censé connaître maintenant les conséquences indésirables de millions de tonnes sur l’environnement. Il y a bien sûr les traces évidences que l’on peut voir dans la nature et celles quasi invisibles présentes dans les cours d’eau, les nappes phréatiques et les océans.

Dans un contexte de prise de conscience écologique, il permettra de prolonger la Promenade du Paillon sur 8 hectares pour offrir en tout 20 hectares de sols perméables en cœur de ville.

Les guerres de territoires ont, semble-t-il, toujours existé dans le monde animal et dans le notre aussi. Il prend au fil des enjeux des formes diverses. Ainsi, la journaliste Lucile Leclair publie aujourd’hui au Seuil, une enquête sur l’accaparement de milliers d’hectares de terres par des multinationales de l’agroalimentaire et de la cosmétique.

L’avenir de la planète « océan » conditionne celui de l’humanité et de la biodiversité.

Depuis 6 ans, la startup « Merci Raymond » s’emploie à redonner toute sa place au végétal en milieu urbain. Pour cela, l’entreprise écoresponsable mène des actions de végétalisation à de multiples échelles et dans une grande diversité de lieux, y compris à des fins agricoles. Elle a ainsi d’ores et déjà réalisé plus de 700 projets en France, avec comme premier terrain d’action la ville de Paris et sa périphérie.

Le baromètre annuel « Les Français et le bien-être des animaux » mené par la Fondation 30 Millions d’Amis et l’Ifop indique que le bien-être animal est un sujet qui ne laisse pas indifférent et qu’il pourrait bien jouer un rôle non négligeable lors de l’élection présidentielle.

Jade Lindgaard dénonce son omniprésence dans son édito (publiée dans la Lettre écologie de Médiapart) : « Vous reprendrez bien un peu de pétrole ? »