Nous risquons bien, si nos comportements ne changent pas de ne laisser e en héritage aux générations futures une immense montagne de déchets et des océans pollués par le plastique. C’est bien ce qu’ont prouvé, à l’insu de leur plein gré, les étudiants de Skema Business School, sise à Sophia-Antipolis.
Il aura passé une grande partie de sa vie a visiter le monde et le voir de haut. Année après année, il a vue les changements drastiques qui sont survenus et dont l’homme n’est pas étranger. Comme le Cdt Cousteau, PE Victor puis Nicolas Hulot, il a peu à peu modifier sa vision du futur et ses comportements. Comme lui, dans un premier temps, il a été un spectateur de la beauté du monde, ensuite est venu le temps de l’action.
La rencontre improbable de Muriel Tran Ercolano avec Sœur Emmanuelle est révélatrice. Elles se comprennent et ce coup de foudre débouche sur la création d’une ONG destinée à aider les enfants en difficultés ici et ailleurs.
Loïc Dombreval, député de la 2ème circonscription des Alpes-Maritimes s’est clairement positionné su les dossiers environnementaux et sur la protection des animaux. Il vient de réagir aux décisions paradoxales voire contradictoires du gouvernement :
Selon l’Agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse, la Méditerranée présente aujourd’hui des signes de bonne santé car les acteurs du littoral et de la mer agissent pour lutter contre la pollution, acquérir des connaissances sur l’état des eaux, faire évoluer la réglementation sur les mouillages en zone côtière, restaurer les petits fonds côtiers dégradés…
Comme partout dans le monde, cette richesse est menacée par la pression anthropique et le changement climatique... L'entité « Provence Alpes Agglomération »s’est donnée mission de la préserver et d la faire connaître au grand public.
La pire pollution, il faut sans cesse le répéter, n’est pas celle que l’on voit, c’est celle qu’on ne voit pas sans un... microscope. En une petite cinquantaine d’années, le plastique, visible et surtout invisible a envahi les océans. Si aucune solution n’est trouvée et mise en œuvre, dans 50 ans, la facture sanitaire sera sévère.