Nice : « Chambre cinquante sept » fait la déco...

Au centre du quartier des Antiquaires, un univers qui sort des chemins battus. Toute une mise en scène !

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Quand un agent d'artistes et de musiciens décide de se reconvertir, il a forcément le sens de la mise en scène. Philippe Chapon, passionné de décoration, a déjà réussi son pari à Metz, mais c'est à Nice, sa ville de cœur, qu'il ouvre sa deuxième boutique, en collaboration avec Catherine Montini.

Dans un écrin couleur chanvre, du mobilier…

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Vence : le Sud a des talents... musicaux.

Pour la 4ème édition du « Concours Talents Nuits du Sud » huit candidats chercheront une reconnaissance.

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S’insérant depuis quatre étés dans le « Festival Nuits du Sud » qui en est lui à sa 14ème édition, ce concours offre une belle occasion pour de jeunes chanteurs et pour des groupes de musiciens de se distinguer et surtout de se faire… entendre.

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Aix-en-Provence : Sans alcool, la fête de la musique aurait-elle été plus folle ?

Il n’y a pas que les mélodies énervées qui ont résonné le 21 juin au soir...

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Célébrer la 30ème édition de la fête de la musique à Aix, c’est comme aller au Salon du Livre de Paris. Il faut faire un plan de bataille car de la Place de l’Archevêché à la route des Milles, tous les genres (électro, classique, reggae ou chanson française) étaient représentés dans la ville de Cézanne. Mais le chemin de croix des mélomanes était évidemment le Cours Mirabeau. Et ce n’était pas une mais deux grosses soirées qui étaient prévues aux extrémités de l’allée bordée de platanes.

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Algérie : souvenir d’une maison à Baraki...

L’écrivain Jocelyne Mas livre ici un souvenir ému d’un passé toujours douloureux à évoquer.

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Catégorie Les Arts au soleil

Ma grand-mère Virginie Solarino et mon grand-père Charles-Antoine Bertrand dans leur jardin à Baraki, petit village de mon enfance, à une vingtaine de kilomètres d'Alger, en mai 1962. C’était un mois avant notre départ sur les routes de l'exil. Comme vous pouvez le constater, leur maison, construite tout au long d'une vie, est bien modeste, ils n'étaient pas des gros colons ! Mon grand-père était cheminot. Après leur départ précipité, ils sont partis en une demi-heure car le village avait été investi par le FLN, ils égorgeaient tous les européens. Une vieille voisine musulmane est venue les prévenir en hurlant : « Sauve-toi Lalla ! Sauve-toi ».

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