¡Buenos días Mexico! Retour vers le passé…
Un an au Mexique, ça laisse des traces, même 50 ans après. Et ça laisse plein de photos aussi qui débordent du tiroir à souvenir.
Un an au Mexique, ça laisse des traces, même 50 ans après. Et ça laisse plein de photos aussi qui débordent du tiroir à souvenir.
Pulp·e est une exposition qui explore la construction de l’image dans sa réappropriation, dans son écriture, dans sa transposition du dessin à l’espace, invitant les corps à déambuler dans diverses narrations liées au costume, au décor, à l’image en mouvement, au trucage. Le titre « Pulp·e » est lui-même un jeu, il renvoie d’une part à une typologie spécifique de bandes dessinées, les Pulp (abréviation de pulp magazine) et l’ajout du E propose une autre signification, plus concrète, la pulpe, extraite d’un fruit ou d’un légume : une situation transformée. Titre hybride, l’exposition présente elle aussi plusieurs états et situations.
Depuis moins d'un siècle, en Occident, l'eau est à la disposition de tous et elle n'est pas chère. Il suffit d'ouvrir le robinet et elle est là, claire, potable abondante. C'est la même que l'on va utiliser pour boire, se laver, refroidir les centrales atomiques, nettoyer nos rues et nos voitures. Ce temps-la est désormais en sursis.
Université Côte d'Azur, via son Institut du tourisme Côte d'Azur, fait partie du réseau des écoles universitaires en tourisme, officiellement lancé le 17 mars dernier à Paris dans le cadre du salon mondial du Tourisme. Ce réseau novateur rassemble les 6 universités françaises de premier plan dans les domaines de la formation, de la recherche et de l’innovation en tourisme.
Les murs de la Bastide de Moustiers et de l’Hostellerie de l’Abbaye de la Celle reprennent leur service saisonnier. Les chefs Adrien de Crignis à Moustiers et Nicolas Pierantoni à La Celle retrouvent leurs brigades et remettent les fourneaux en marche.
Aujourd’hui, le marketing n’a pas bonne presse. Et pour cause, elle n’a pas vocation, jusqu’à présent de mettre en cause les produits qu’elle est censée promouvoir. Elle n’a pas d’âme, pas de conscience, seul compte la finalité : faire vendre, à l’importante quel prix. La morale, l’éthique ne sont pas des matières ou des concepts que l’on apprend dans les écoles de commerce… On y apprend plutôt tous les mécanismes qui vont déclencher le passage à l’acte d’achat. Aussi l’usage des techniques comme les multiples relances par e-mail, la manipulation psychologique comme les dark patterns, l’exploitation de biais cognitifs, ou encore les tromperies sur les conditions de retour.
Chaque climat et chaque environnement façonnent le paysage. Pour approfondir tous ces aspects, un colloque scientifique, organisé par La Société Nationale d’Horticulture de France, se tiendra le 12 mai à l’espace Villeneuve Bargemon, Marseille.
Savez-vous que depuis les années 80, les décors extérieurs des dessins animés Disney ne représentent presque plus de végétation ? Ce phénomène est loin d'être anecdotique : en 2002, le professeur américain Peter Kahn a souligné que chaque individu construit son identité en fonction de l’environnement dans lequel il grandit. Or, à chaque génération, les enfants s’éloignent de plus en plus de la nature qui disparaît progressivement de leur identité. Faute de représentations de la biodiversité dans nos quotidiens, nous devenons de plus en plus insensibles à son effondrement.
Le prix, depuis cette année, adopte une nouvelle formule : il est doté de 15 000 € (5 000 euros de dotation pour l’artiste, 10 000 euros d’aide à la production pour une exposition de 3 mois au Drawing Lab et l’édition d’un catalogue monographique). Le Prix Drawing Now est soutenu par SOFERIM & le Drawing Lab.