Jocelyne Mas nous régale d'une page pleine de nostalgie qui nous conforte dans l'idée que nous sommes capables de donner une âme aux objets lorsque nous les chargeons d'émotion...

Depuis 1989, les atteintes à la laïcité à l'école se sont démultipliées et laissent entrevoir le pire. Nous publions ici le texte de présentation de l’enquête Ifop/LICRA auprès des lycéens qui est un rappel historique. Nous remarquons qu’à aucun moment le nom d’une religion n’était cité. Pourtant toutes les religions suscitent-elle ce genre de problème ? Pour avoir peur d’appeler un chat un chat, on en arrive à faire le jeu des extrêmes. On notera que nous n’avons pas citer le nom d’un parti… N’est nullement évoqué la tragédie Samuel Paty. Pas question bien sûr de parler de sa « décapitation »… de peur sans doute de dramatiser cette incroyable action ou de déranger ceux qui en sont, à différents degrés, responsables ?

Le Skal est une organisation internationale réunissant les professionnels du tourisme dont le but est de mener des projets d’excellence et de soutenir un tourisme éco-compatible. Le nom, symbole de l'amitié qui lie tous ses membres et amis, s'exprime dans le souhait du toast scandinave « Skal ! ». il est l'acronyme des mots Sundhet (Santé), Karlek (Amitié), Alder (Longue vie) et Lycka (Bonheur), valeurs sur lesquelles le mouvement a été fondé.

Cette commune de 26 000 âmes, à l’ouest de Marseille a les pieds dans l’Étang de Berre. Elle s’est donné les moyens de mener une politique qui prend sérieusement en compte les enjeux environnementaux.

Les habitués de la maison historique y ont déjà trouvé leur marque et à l’approche de Noël et des fêtes de fin d’année, les commandes vont bon train. Les coffrets cadeaux ont beaucoup de succès tout comme les pièces cocktail du traiteur.

Dans nos pays d’abondance, il est devenu d’une indécence coupable. Les choses changent, notre regard sur le monde et sur ses capacités de nous abriter et de nous nourrir aussi. Ainsi des entreprises prennent leurs responsabilités.

Issu d’un projet initié en 2020, le « Livre Blanc du Tourisme Responsable » voit le jour à une période où le secteur du tourisme, touché par la crise sanitaire, prend conscience de ses responsabilités et de la nécessité de remettre en cause certains modèles.