L’année 2024 marque encore une progression de la performance touristique de la destination Côte d’Azur France.

Ce fut une véritable prouesse technique que de créer cet espace intérieur d’envergure (2800 M2 quand même) au sein du palace cannois. Il valorise indéniablement l’établissement en offrant un havre de paix privatif. Outre le jardin, à l’abondance et luxuriante végétation, une piscine, un pool bar et une salle de fitness viennent compléter le tout. Quant aux chambres qui ont « vue jardin », elles sont grandement appréciées par la clientèle.

Chaque année la France célèbre l’Épiphanie autour d’une tradition bien vivante : la galette des rois. Preuve de son succès, 48,6 millions de galettes sont dégustées bon an mal an, dont 25,6 millions confectionnées artisanalement par les 32 000 boulangers-pâtissiers. Près de 9 Français sur 10 participent à ce rituel gourmand, en famille ou entre amis.

Le Marché de la truffe de Grasse et celui du Rouret aussi, sont devenu des événements incontournables. Ils se déroulent depuis 29 ans en début d’année. Les gastronomes y trouveront entre autres mais surtout des exemplaires certifiés de la « tuber melanostrum », la reine, la meilleure et la plus connue de cette espèce de champignon si prisé. Il faut savoir que 10 grammes par personne suffisent amplement pour se faire plaisir et anoblir une simple purée de pomme de terre, une brouillade... et donc, la truffe n’est pas chère que ça !

La pâtisserie chocolaterie Philippe Brito a choisi de mettre en valeur les œuvres de l’artiste Grégory Berben en lui proposant d’exposer ses créations sur ce support en porcelaine. Elles seront ainsi glissées dans les centaines de galettes des rois que dégustent les fidèles de l’adresse.

Cette année, le chef pâtissier Sébastien Gaudard s’associe à la maison J.M. Weston pour imaginer une collection de fèves et une couronne exclusives, à l’effigie du mocassin emblématique de la maison, qui accompagneront sa galette des rois.

- sorti du tiroir aux souvenirs, 1971,1972 -

Dans un contexte géopolitique étouffant, les domaines viticoles du plateau de la Bekaa tiennent le cap. Le changement climatique combiné à la crise économique et les guerres à répétition n’ont pas eu raison de la volonté des viticulteurs de produire des vins d’une grande qualité.