Les nouvelles, bonnes ou mauvaises ?
Les journalistes le savent bien, les mauvaises nouvelles font davantage vendre que les bonnes. On ne va pas « investiguer » sur le bonheur des gens mais sur leur malheur. Les catastrophes, les tragédies, les révolutions, les fait divers sanglants, sont pour eux du pain béni. Bien sûr, il sont-là pour informer le public ; ils ne sont pas responsables de leur venue, vous diront-ils. Mais, trop souvent, leur couverture d’événements mal-heureux entretient la polémique, voire la créée.