L’incivilité : la maladie du siècle ou du millénaire ?
Si cette affection existe depuis que l’homme est l’homme et qu’après lui le déluge, elle prend aujourd’hui l’ampleur d’une pandémie. Personne ne se sent responsable et encore moins coupable. Le règne du : c’est pas moi, c’est l’autre, souvent désigné comme étant la société. Pour beaucoup d’entre nous, seule la peur du gendarme freine notre ardeur à faire ce que bon nous semble, sans nous nous soyons préoccupés par les conséquences pour autrui et pour la planète, de nos actes. Malheureusement on ne peut mettre un agent de l’ordre public à chaque coin de rue, encore moins dans chaque chemin de campagne, lieux privilégiés de nos décharges… sauvages.