Automne hiver : les états fébriles s’invitent.
Une approche douce est à privilégier...
Il y a la manière forte comme la prise d’antibiotique mais. Il est prouvé maintenant qu’on en a abusé. Il y a aussi la manière douce, la plus sensée pour attaquer dès les premiers symptômes, nez bouchés, gorges irritées, bronches encombrées... et limiter et contrôler le développement des états fébriles annonciateurs d'angine, de rhumes aiguës, d'états grippaux...