L’empreinte carbone des modes de chauffage…

individuels et collectifs.

Les Français ne savent pas classer les modes de chauffage qui polluent le plus mais pensent être parfaitement calés sur les prix et les coûts énergétique, sans vraiment connaître les prix cachés comme les coûts d’exploitation ou d’installation. Rothelec, le spécialiste du chauffage électrique économique et inventeur du radiateur à inertie, a interrogé plus de 3 206 personnes pour répondre à cette question cruciale encore bien loin d’être évidente malgré l’urgence climatique. 


- photo (c) PCA -

Ainsi, pour les Français, les 3 types de chauffage qui émettent le plus de CO² sont le fioul avec 27 % de votes, le bois (bûches ou granulés) avec 23 % et le gaz naturel avec 15 %. tandis que 14 % avouent cependant ne pas savoir répondre à cette question. Car en effet, même s’il ne se trompent finalement pas sur l’impact du fioul et du gaz, il est surprenant de voir figurer le bois à la deuxième place des modes de chauffage ayant la plus forte empreinte carbone. En effet, le chauffage au bois n’émet que 30 gCo² par kWh quand le fioul en totalise plus de 324 gCo² et le gaz 227 gCo² et l’électrique 147 gCo².

Cette méconnaissance est encore plus flagrante lorsque la question de la pollution est posée. Car pour 22 % des Français, c’est le chauffage au bois qui pollue le plus, devant le chauffage au fioul à 21 % et le gaz à 12 %. Or, le bois est une source d’énergie naturelle et renouvelable grâce à la reforestation. Vu son indice très bas de rejet de Co², c’est le système de chauffage le plus respectueux de l’environnement avec pour seul point noir l’émission de particules fines dans les fumées qui peuvent apporter des dégradations à l’air ambiant et donc causer des problèmes respiratoires si elles sont inhalées. De son côté, le chauffage au fioul produit un nombre de composés nocifs très important (particules fines, oxyde d’azote, dioxyde de soufre, carbone, etc.) ce qui en fait le système le plus polluant et le moins écologique de tous, devant le gaz qui est également une énergie fossile libérant énormément de CO².

Pour ce qui est des coûts énergétiques, les Français classent les énergies de la moins chère à la plus couteuse (1. Le chauffage au bois, 2. Le chauffage au gaz, 3. le chauffage au fioul et 4. le chauffage électrique), mais en oubliant certaines contraintes liées au fonctionnement. Or, si le chauffage électrique est le système le moins cher à l'achat (entre 1 000 et 5 000 €), il occasionne des coûts d'exploitation pouvant être élevés. 

Pour le chauffage au gaz, le coût d'achat est moyen (entre 5 000 et 15 000 €) et avec des coûts d'exploitation stables mais c’est une source d’énergie fossile et donc non pérenne. Le Chauffage au fioul a un coût d'achat moyen (entre 5 000 et 10 000 €), mais des prix fluctuants, souvent très élevés et surtout une interdiction de s’équiper pour les nouveaux logements.

La Pompe à chaleur a un coût d'achat très élevé (entre 6 000 et 16 000 €), mais occasionne des coûts d'exploitation assez faibles et fournit donc une énergie plus écologique. Le Chauffage au bois enregistre un coût d'achat variable et assez élevé pour une cheminée ou un poêle (entre 2 000 et 15 000 €), avec en plus un prix du bois ou des granulés variable et plus ou moins important en fonction de l’habitation. De plus, pour chauffer l’ensemble d’une maison et pas seulement une pièce, il est nécessaire de s’équiper de conduits d’air et de pompes pour répartir la chaleur dans les pièces choisies. Le Chauffage solaire a lui, un coût d'achat élevé (entre 5 000 et 20 000 €), mais des coûts d'exploitation quasiment nuls et une énergie 100% renouvelable….


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Analyse d’Éric Anes, président de Rothelec des atouts du chauffage solaire : « Aujourd’hui, près de 40 % des foyers se chauffent au gaz et encore 12 % au fioul. Seulement 35 % sont à l’électrique et les Français qui utilisent le bois ne sont qu’une minorité estimée à 5 %. Il est donc primordial de continuer à perfectionner l’énergie électrique, comme nous le faisons au sein de Rothelec depuis plus de 45 ans. Nous avons été parmi les premiers à proposer des systèmes combinés, comme les radiateurs à inertie couplés à une production solaire, capables de réduire l’empreinte carbone des ménages français tout en réduisant leurs coûts de chauffage. En résumé, le chauffage solaire présente de multiples avantages, aussi, bien économiques qu'environnementaux. C’est la solution écologique et durable la plus efficace pour chauffer son habitation tout en réduisant ses factures d'énergie. C’est produire de l’énergie verte et la consommer intelligemment. » 

[NDLR : quid de la climatisation qui, pour produire du froid, dépense beaucoup d'énergie... électrique.]