Du Carlton de Cannes au Grand Hôtel de Paris, Didier Boidin
reste dans le giron de l'Intercontinental.
- Didier Boidin recevant Michael Jackson au Carlton -
Il n'est plus le plus jeune directeur de palace azuréen qui débarquait un beau jour de 1994 sur la Croisette. Les événements se sont succédés, année après année, Festival après Festival, chacun apportant leur lot de soucis et de problèmes à résoudre. Les stars sont souvent connues pour leurs extravagances et leurs caprices, les VIP pour leurs exigences. Mais, bouche cousue, vous n'en serez pas plus, les indiscrétions ne sont pas ici de mises.
Didier Boidin a prouvé ce qu'il avait à prouver au Carlton. Reconnaissant ses qualités, la direction du groupe lui a aussi donné la responsabilité de tout le secteur Méditerranée du Sud. Plus récemment, elle lui a confié la direction des opérations pour la France. D'où son exil à Paris.
Première mission, la rénovation d'une adresse de prestige, le Café de la Paix, dépendant du Grand Hôtel. En commençant par le décor, en mettant ensuite en place une nouvelle équipe dans les cuisines qui avaient connu leur âge d'or avec deux étoiles au Michelin. Laurent Delarbre, ancien de La Tour d'argent, de Lasserre et du Ritz, est aux commandes et fera tout ce qu'il faut pour "étoiler" à nouveau le Café de Paris.
Après le Carlton et ses prestigieuses suites dédiées aux stars du cinéma, Didier Boidin s'attachera en outre à maintenir Le Grand Hôtel à son plus haut niveau. Avec ses 470 chambres, ses suites et son fameux Salon Opéra, il est une des plus belles adresses de la capitale. Nul doute que ce grand patron fera merveille !
- mention : www.pariscotedazur.fr - mai 2006 -