Les 25 et 26 mai derniers se tenait à Marseille le congrès national ESF, l’École de Ski Français. L’occasion de faire le point sur l’année passée mais aussi de se tourner vers l’avenir en poussant les champs de la réflexion et en rappelant notamment la responsabilité des monitrices et moniteurs face aux enjeux climatiques.

L’association Conséquences publie un sondage avec l’IFOP sur la perception des Français vis-à-vis des conséquences des changements climatiques en été. Le sondage a été réalisé - en plus de l’ensemble de la France - spécifiquement sur la Région Sud. Les habitants de PACA sont globalement plus inquiets (83% contre 76% pour l'ensemble des Français). Sur la majorité des questions étudiées, les habitants de PACA manifestent une inquiétude plus prononcée que l’ensemble des Français, notamment pour les sécheresses ou encore plus les incendies, tout en attendant de l’État des mesures d’adaptation.

Une centaine de militants pour le climat bloquent des jets privés lors du plus grand salon de l'aviation d'affaires en Europe, qui se tenait à Genève, protestant contre les méga-pollueurs de luxe. Ce qui était encore jugé il y a peu comme normal, ne l’est plus car les données climatiques ont changé.

Le zoo marin antibois compte envoyer ses orques dans un delphinarium au... Japon.

Dans l’hexagone, on utilise 3,44 kg de pesticides par hectare de terres cultivées. Plus que l’Espagne, qui n’en consomme que 2,6 kg/ha. Bien moins cependant que le bonnet d’âne qu’ait la Hollande qui en épand 10,82 kg/ha… Donc à éviter !

Les villes de moins de 20 000 âmes sont peut-être une solution pour rendre plus humaine la vie en milieu urbain. Trop d’habitants ? C’est la solitude à plusieurs assurés. Les images des bâtiments d’habitations collectives chinoises sont inquiétantes ; quelle qualité de vie peut avoir les 10 000 personnes vivant dans un même ensemble, côte à côte d’autres ensembles du même modèle. D’autres part, pas assez d’habitants dans une ville et c’est un comme un village sans dynamique qui encourage les jeunes à le quitter.

Plus de 150 ans de recherches naturalistes marines se cachent dans les pierres de ce bâtiment. Il a été inauguré en 1889 dans le sillage du laboratoire de zoologie de la faculté des sciences de Marseille, lui-même datant des années 1870, puis il est devenu l’un des creusets de la recherche océanologique internationale.