Soutenir la police est une évidence !
Éditorial de Philippe Buerch, président de « Agir en politique ».
Éditorial de Philippe Buerch, président de « Agir en politique ».
Si vous faites partie de ces vacanciers qui ne partent jamais sans leurs objets connectés, méfiez-vous des menaces lorsque vous utilisez un Wi-Fi public pour vous connecter à votre banque en ligne, boutique en ligne ou tout simplement pour vérifier vos e-mails.
Chaque fois qu’il est question de cyber-intimidation, on pense généralement aux enfants ou aux adolescents. Beaucoup de choses ont été dites sur la cyber-intimidation par des psychologues, des organisations, des personnalités publiques, ainsi que par d’autres parties concernées. Cependant, nous ne réalisons souvent pas que les adultes peuvent eux aussi être victimes de cyber-intimidation. Si vous ne pensez pas que les adultes sont des victimes, il suffit de regarder les commentaires de célébrités, d’athlètes ou même de politiciens sur les réseaux sociaux. Plusieurs personnes se disent : « Ce sont des personnalités publiques ; elles devraient pouvoir le supporter ! » S’il est question de critique constructive, c’est tout à fait le cas. Mais quand la critique franchit-elle la ligne et se transforme-t-elle en cyberintimidation ?
C’est la question à laquelle tentait de répondre Patric Kruissel, dirigeant de Habitat groupe du Bois d’Aton, en avril dernier… Il est par ailleurs président de l'Association de défense contre les nuisances aériennes.
Me Gérard Charlier de Vrainville publiait en janvier 2002, dans le magazine papier Paris Côte d’Azur ce texte :
Nos civilisations se sont construites sur l’échange de nos savoirs, de nos cultures, de nos passions. De tout temps, à jamais les peuples se sont mêlés pour progresser ensemble et partager leur envie de faire du monde un bien universel.
Il y a moins d'un an, les cadres étaient déjà 84% (*) à déclarer vouloir quitter la capitale. Depuis l'expérience du confinement et le développement du télétravail, cette vague de départ est en passe de devenir un tsunami. Pour l'enrayer, certaines entreprises, en plus du télétravail, misent sur la biophilie.