Bonnes ou mauvaises, ce sont des nouvelles...
Les journalistes le savent bien, les mauvaises nouvelles font davantage vendre que les bonnes. Les catastrophes, les révolutions, les tragédies, les faits divers les plus sanglants sont pour eux pain béni. Ils encouragent volontiers la polémique, sachant que le consensus intéresse moins et que les récits mettant en cause des gens heureux fatiguent vite le lecteur.