Mauvais perdants.

Au revoir et à bientôt.

Au revoir et à bientôt. Assez rares pour être mis en exergue, l'amertume affichée des recalés du dernier round gouvernemental. Barnier a montré, face aux journalistes sa totale incompréhension de ce qui lui arrivé, ce qui suffirait à justifie son renvoie. Fillon, en beau ténébreux qu'il est, a affiché lui aussi sa frustration de ne pouvoir continuer son plan.

-Pourquoi je parts, pourquoi d'autres restent, qui pourtant, n'ont pas fait mieux ?
-François, ce n'est pas tous les jours qu'on joue à qui perd gagne !

Claudie Haigneré s'en va versant quelques larmes de dépit, à la "recherche" de quelque réconfort.
Patrick Devedjian sera plus discret : un jour viendra, à nouveau, Sarko rassemblera les siens, et je serais parmi ceux-là !


- mention : www.pariscotedazur.fr - juin 2005 -