Santé : « À l’eau, maman...

bobos »

Crédits:
textes par
Catégorie C'est notre santé

Tous les amateurs de sable chaud, comme les habitués des bassins chlorés, seront un jour ou l’autre concernés par un des ces petits problèmes dermatologiques qui gâchent le plaisir. Verrues et mycoses ont fait ou feront partie de ces désagréments dont on se passerait bien. Et pour ne pas se priver des bienfaits du soleil et des séances de piscine, mieux vaut savoir affronter les... risques.


À commencer par la prévention. Il est logique de porter des sandales le plus souvent possible, sur le sable, les galets, les sols des piscines (vestiaires et abords compris). Il convient aussi de s’allonger sur des serviettes (toujours le même côté sur le sable ou le sol présumé pollué) et de les changer souvent. Bien sûr, il est recommandé de se laver au savon après sa séance de bronzage ou de sport, en particulier les pieds, ne pas oublier aussi de bien les sécher.

Mais malgré toutes ces précautions, on peut découvrir qu’une verrue a commencé à se développer sous la plante de nos pieds ou que des « champignons » (mycoses) sont en train d’envahir l’interstice de nos orteils ou plus gênant, les plis de l’aine, voire de nos ongles.

Les nageurs semblent être certes une cible idéale mais plus généralement, la pratique sportive peut entrainer les mêmes désagréments. En cause, la transpiration, et les micro traumatismes (coupures, écorchures, chocs, etc.) facilitant l’entrée de microorganismes. Ne parlons même pas du port des chaussures fermées où mijotent bien au chaud nos pieds et où prospèrent des visiteurs tenaces...

Quand le mal est là, mieux vaut alors ne pas tarder à déclencher la riposte. Les Laboratoires MEDA ont mis sur le marché plusieurs produits qui semblent avoir l’aval de Fédération Française de Natation.


« Objectif ZeroVerrue », une formule inédite qui permet sans douleur de se débarrasser des atteintes dues à ce virus de la famille des papillomavirus humains, particulièrement contagieux. Elle est composée d’acide formique à 85 % qui aide l’organisme à dessécher les verrues et à les rejeter. Disponible en pharmacie, se présente sous la forme d’une solution incolore en flacon en verre de 5 ml pour environ 30 applications permettant de traiter 1 à 5 verrues - 16 €.

« Nadoc » est un traitement local qui favorise, lui, la guérison des ongles abîmés par les mycoses. C’est aujourd’hui l’un des traitements les plus utilisés par les Français souffrant de ce problème. Avec une seule application par jour et grâce à son applicateur innovant les premiers résultats sont visibles dès deux semaines de traitement.

En effet, les propriétés kératolytiques et humectantes de Naloc favorisent l’élimination des tissus endommagés, lissent les couches externes de l’ongle et accroissent son hydratation. Sa solution à base de propylène glycol, d’urée et d’acide lactique modifie le micro environnement de l’ongle et empêche ainsi la croissance des champignons et des bactéries. Cette dernière action permet aussi de réduire les risques de récidives. L’ongle est à nouveau sain, lisse et hydraté. Il récupère sa couleur naturelle. Une seule application par jour suffit. Aucune préparation n’est nécessaire. Après s’être lavé et séché les mains, il suffit d’ôter le bouchon du produit, de placer l’embout sur l’ongle à traiter, de presser le tube et d’appliquer la solution en couche fine sur et sous l’ongle. Disponible en pharmacie - 23 €.