Monaco : un Las Vegas à lui tout seul

ce qui n’empêche pas « la Société des Bains de Mer » d’investir en dehors de la Principauté.

Le Resort Monte Carlo SBM fait depuis fort longtemps, on a envie d’écrire, depuis toujours, la pluie et le beau temps à Monaco. Historique, sa présence a modelé le développement de ce petit rocher devenu grand, en partie grâce à elle.

- dessiné par Charles Garnier et construit en 1863, le Casino de Monte-Carlo,
une institution hors de portée de Las Vegas…

L’entreprise monopolistique gère à elle seule, les casinos de Monte-carlo, du Café de Paris, le Sun, le Bay et le casino d’été. Il faut ajouter à ces cinq institutions, les quatre hôtels et les 33 restaurants qui font dans la fourchette supérieure, les indispensables spas et les non moins indispensables golfs, trois, les salles de spectacles dont le dernière le « Moods » vient tout juste d’être inauguré par le Prince Albert.

Le Moods, 700 m2 sur trois niveaux, creusé sous le Café de Paris. On y danse, on y danse, disco mais les groupes pourront s’y produire en « live »… On n’aura pas toujours la chance de voir, comme en cette soirée d’ouverture, un Rolling Stones, Bill Wyman, au côté d’un Téléphone, Louis Bertignac, en l’occurrence… Le Moods, parfait pour les happy few de la Principauté qui ne cherchent pas à être dépayseés

Le PDG de la SBM, Bernard Lambert, l’avait annoncé lors des vœux du Nouvel An, la société monégasque compte bien répandre à l’étranger sa technique de management et y diversifier ses investissements, tout en continuant à entretenir et développer son patrimoine national. La méthode SBM a fait ses preuves et ceux qui voudront s’en remettre à elle ne prendront guère de risque…

- mention : www.pariscotedazur.fr – avril 2008 -
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