Pratique illégale mais autorisée.

Entre deux maux, il faut choisir le moindre !

Catégorie Pieds dans le plat

Les autorités pénitentiaires québécoises ont fait leur compte. Dans l'univers carcéral, il est bien difficile d'empêcher les détenus de se tatouer. Or les conditions dans lesquelles les tatouages sont effectués provoquent nombres de maladies infectieuses et multiplient les risquent de contamination du sida et des hépatites.

Les soins nécessités coûtent très chers. Bien plus cher que d'installer et d'équiper sur place un salon de tatouage, former et rémunérer un tatoueur choisi parmi les détenus. La prison de Cowansville, au Nord d Montréal, a choisi cette formule qui lui fait réaliser des économies assez conséquentes lorsqu'on sait qu'il faut 20 000 $ par an pour soigner une personne atteinte du VIH et plus du double pour celles atteintes d'une hépatite.


- mention ; pariscotedazur.fr - juillet 2005 -