Après le coup d'arrêt dû aux attentats du 11 septembre, c'est une juste remontée de la fréquentation.C'est aussi la conséquence logique de sa position stratégique et de la bonne gestion de la Chambre de commerce et d'industrie qui l'exploite depuis 1956.

Cet été, on peut se réjouir des nouvelles destinations en vol direct comme Athènes, Budapest, Bratislava, Varsovie et Cracovie. Et de la concurrence des compagnies low-cost. Ainsi la venue de Flybaboo qui vient bousculer la position de Easy Jet vers Genève. Le voyageur risque d'y trouver son compte !



Pour qui veut mieux comprendre l'évolution de la plate-forme aéroportuaire azuréenne de 1900 à 1956, un ouvrage fait référence. C'est celui d'Albert Viborel. En fait, deux volumes admirablement documentés et illustrés de précieux documents, plans, photos. On y apprend qu'avant la guerre de 1939, l'aéroport dénommé "de la Californie", but de promenade des niçois, était tout simplement un petit champ caillouteux équipé de deux hangars. Voisin des prestigieux champs de courses hippiques civiles et militaires, situé dans un quartier encore en partie agricole, il était appelé à un développement urbain considérable. Personne ne pouvait imaginer à l'époque qu'il se transformait en quelques décennies en un grand aéroport international.


- Les origines de l'aéroport de Nice : cet ouvrage inestimable se trouve en vente chez les marchands de journaux de l'aéroport et chez l'auteur (écrire au journal qui transmettra).


- mention – www.pariscotedazur.fr - juillet 2005 -