Cultiver la santé et la beauté de la peau...
Saviez-vous que le melon cantaloup qui pousse en Provence contient autant d’antioxydants que les baies de Goji que l’on va chercher à 7 000 km ? Ou que la betterave est non seulement riche en polyphénols qui luttent contre le vieillissement accéléré de la peau mais aussi en bétaïne, un actif hydratant qui agit dans la durée pour que votre peau soit bien hydratée et souple tout au long de la journée ?
Autrement dit pourquoi aller chercher bien loin ce qu’on a sous la main… Un raisonnement qui convainc de plus en plus de citoyens responsables. Ce changement de mentalité n’a pas échappé à Laure-Anne de Tastes et Lauren Lachaud, cofondatrices de « Cultiv ». A la suite d’une étude scientifique sur les actifs des cultures agricoles françaises qui démontre que l’ensemble des besoins de peau pouvaient être traités par des actifs naturels issus des champs français, elles se lancent dans le domaine de la cosmétique. Elles prennent le contre-pied des marques dites conventionnelles en sélectionnant des cultures emblématiques comme la betterave, la chicorée, les épinards ou encore le blé ou le lin, le seigle, jusqu’à les inscrire en gros au centre de ses produits :
« Il nous semblait essentiel de faire comprendre aux consommateurs que ces cultures ont une richesse exceptionnelle pour la peau. C’est aussi une façon de porter un nouveau regard sur le travail des agriculteurs en France. Nous avons un terroir très riche, très varié ; une qualité de produits qui est enviée par beaucoup de pays. Et puis il y a une volonté économique aussi, présenter ces ingrédients sur un marché à forte valeur ajoutée permet de diversifier les revenus des agriculteurs. »
Un exemple, la betterave. C’est un légume bien français qui a de nombreuses vertus beauté : il favorise l’hydratation des cellules grâce à la bétaïne et il protège la peau du vieillissement grâce à sa richesse en polyphénols. Cette betterave justement est récoltée dans les champs de la coopérative agricole Cavac, adhérente du groupe InVivo.
« Avec nos matières premières d’origine française, c’est une vraie satisfaction de contribuer au développement de la marque Cultiv qui apporte la preuve qu’il n’est pas nécessaire de faire des milliers de kilomètres pour trouver les meilleurs ingrédients pour les cosmétiques » précise Jérôme Calleau, président de Cavac.