- Une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne : une étude marseillaise conclue que la pollution atmosphérique n’est pas un facteur déclenchant des crises d’asthme. La mauvaise c’est que l’ozone (O3) pourrait bien y être pour quelque chose.
- Rien que des bonnes nouvelles à la Lyonnaise. L’eau du robinet qu’éventuellement nous buvons dans le pays cannois et grassois ne contient pas de traces de pesticides ni de taux alarmant de nitrate. Il est vrai que la zone concernée n’est guère développée en matière d’agriculture et le haut pays fort heureusement se met de plus en plus au bio.
- La route est particulièrement dangereuse pour les jeunes conducteurs et pour les « anciens ». Dans notre région ils sont de toute évidence très nombreux. Le temps vient où, de façon normale la vision diminue, l’ouïe devient moins fine, les réflexes plus lents (souvent affectés par la prise de médicaments), une inquiétude peut naître face à des règles qui évoluent (ronds-points à l’anglaise par exemple). La sagesse voudrait de se remettre alors périodiquement en cause, avec les conseils de son médecin. Il existe aussi des stages gratuits de remise à niveau, organisés par la Prévention Routière. Nos députés avaient planché sur un projet de loi rendant obligatoire une visite médicale annuelle pour les plus de 65 ans. Histoire de voir si les conducteurs de cette catégorie restaient aptes à conduire. Une initiative pas très appréciée par nos retraités qui le leur firent savoir. Projet vite retiré…
- C’est un pharmacologue américain qui l’affirme, le tabac c’est bon pour le cerveau. La nicotine aurait un effet bénéfique sur les capacités d’apprentissage et la mémoire des rats ayant une maladie similaire à celle d’Alzheimer. Entre le cancer des poumons et la sénilité précoce, mon cœur balance… Il est vrai que pour atteindre le second état… le plus tard possible, il vaut mieux éviter le premier…
- Les Etats-Unis redécouvrent les bienfaits des visites à domiciles du corps médical qui n’existaient pratiquement plus. En dehors des heures de bureaux, il faut faire appel aux Urgences, même pour des troubles relativement bénins. D’où de nombreux encombrements, un manque d’efficacité et un prix à payer bien supérieur aux coûts engendrés par les usines à urgences.
- mention : www.pariscotedazur.fr - septembre 2006 -