Les fausses bonnes idées... suite.
En paraphrasant Georges Brassens... qui ne manque pas d'ancienneté française, un lecteur assidu apporte sa contribution au débat :
Le jour du quatorze juillet
Éva reste dans son lit douillet
La musique qui marche au pas
Cela ne l'a regarde pas
Elle ne fait pourtant du tort à personne
En n'écoutant pas le clairon qui sonne
Mais les autres politiciens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux.
Tout le monde la montre du doigt…
Pas besoin d'être Jérémie
Pour deviner le sort qui lui est promis
S'ils trouvent une corde à leur goût
Ils la lui passeront au cou.
Elle ne fait pourtant de tort à personne
En suivant les chemins qui ne mènent pas à Rome
Mais les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux.
Non les braves gens n'aiment pas que
L'on suive une autre route qu'eux.
Tout le monde viendra la voir pendu,
Sauf les aveugles, bien entendu.
- Quant aux deux strophes du poème cité dans notre article précédent, il avait été publié par nos soins en décembre 2004, France.