Monaco. Cap sur la Méditerranée du futur…

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L'Institut océanographique de Monaco ouvre un nouveau chapitre de son engagement pour la protection de l’Océan avec « Méditerranée 2050 », une exposition immersive conçue pour éveiller les consciences et inspirer l'action.

Déployée sur plus de 1000m² au cœur du Musée, l’exposition embarque petits et grands dans une odyssée spatio-temporelle à travers la Méditerranée, du passé à un futur idéalisé, au cœur d’une Aire Marine Protégée foisonnante de vie… à condition de prendre les bonnes décisions dès aujourd’hui.

Cette exposition s'inscrit dans le cadre du vaste programme pluriannuel porté par l’Institut océanographique pour renforcer la préservation d’un écosystème aussi unique que fragile, la Méditerranée. Abritant plus de 17 000 espèces marines soit près de 7,5 % de la faune et 18 % de la flore marine mondiale, elle est considérée comme un lieu privilégié de biodiversité aujourd’hui sous pression. L’exposition invite à prendre la mesure de ces enjeux et à explorer les solutions pour préserver cet héritage.

Dès qu'ils auront passé le seuil du « Temple de la Mer », les visiteurs évoluent dans les 4 grands espaces à thèmes qui composent l'exposition. Grâce à des dispositifs interactifs et ludiques, et des projections immersives spectaculaires, les visiteurs découvrent l’engagement séculaire de la Principauté de Monaco pour la Méditerranée, avant d’être projetés en 2050, où ils mesurent les bénéfices résultant de la réalisation de l’objectif « 30x30 » (protéger 30 % des terres et des océans d’ici 2030).

Parce qu’il est encore temps d’agir, le public est invité à s’engager par son action individuelle et en formulant des attentes vis-à-vis des pouvoirs publics et du secteur privé.




« Faisons un pas de côté pour emprunter un nouveau chemin, celui de l'utopie. Tel est notre souhait avec le programme Méditerranée 2050 : ouvrir grand les portes devant le champ des possibles, construire un nouveau récif collectif, s'autoriser à contrarier ce que l'on dit hors de portée. »

Robert Calcagno, DG de l’Institut océanographique