L’homme a toujours regardé les sommets avec appréhension, voire une certaine peur, peur de l’inconnu, peur d’y rencontrer quelques Dieux jaloux. Une peur légitime car le danger est terriblement présent et la prise de risque peu paraître insensée. En Europe, le symbole de cette conquête de l’inutile (il n’y aura aucun trésor à trouver, sinon symbolique) fut sans doute le Mont Blanc. Dans le Sud, les Calanques canalisèrent cet irrésistible envie de « grimper », de dominer sa peur. Entré au Club des excursionnistes marseillais, Gaston Rebuffat s’y illustra avant affronter les plus hauts sommets du monde.

Les films documentaires ont beaucoup fait pour faire connaître les beautés de la nature et plus simplement sa diversité. Je me rappelle des longs métrages de Walt Disney comme « Le Désert vivant », 1953. Jusque-là, la compagnie n’avait fait que des moyens métrages. On peut dire sans prendre trop de risques, que derrière chaque cameraman qui filmait sur de longues périodes, voire des années, tous ces animaux et ses plantes sauvages, il y avait aussi un photographe.

Le Château Sainte Roseline et le Château des Demoiselles, s’inscrivent depuis plusieurs années dans une démarche de viticulture et d’entreprise responsable. Après avoir obtenu la certification Haute Valeur Environnementale de niveau 3 en 2019, et entrepris leur conversion en Agriculture Biologique, les deux domaines viennent d’obtenir le label Vignerons Engagés, le premier label RSE de la filière vin, délivré par le collectif Vignerons en Développement Durable.

Cet établissement ***** se cache des regards indiscrets et joue sur ses atouts, notamment ses chambres dont la plupart ouvrent sur de paysages un rien sauvages. Quant au fait qu’il est un des très rares sur la Côte d’Azur à avoir un accès direct et quasi exclusif sur la Méditerranée. Séjour aussi dépaysant garanti.

Confronté comme de nombreuses villes à une incivilité croissante, Limoges Métropole lance une campagne de communication pour lutter contre les dépôts sauvages sur son territoire.

A propos de ce... loisirs, le député azuréen, Loïc Dombreval, LAREM, répond à Julien Aubert : « Cessons les caricatures stériles ! »

Qu’on recherche l’un comme l’autre, on n’aura rien sans rien et autant le faire en prenant du plaisir et sans risque. La fermeture pendant de long mois des salles de gym, des piscines couvertes, l’arrêt des entraînements dans les clubs amateurs de sports collectifs, ont mis en évidence la nécessité de nos pratiques sportives et nous ont fait réalisé tous les bienfaits qu’on pouvait en attendre. Dans cet optique, ces deux ouvrages qui viennent de paraître, tombent à pic. Et ce, d’autant que beaucoup d’entre nous ont pris quelques kilos superflus dus à notre sous-activité durant les confinements successifs. Et ce, d’autant aussi, que l’étau se desserre et que nous aurons à cœur de nous présenter sous la meilleure... forme possible