Santé. La présence perenne de l’argent colloïdal…
L’argent colloïdal a un statut particulier dans la pharmacopée non officielle. Si les autorités sanitaires françaises ne le considère pas comme un médicament et l’ont relégué au rang de cosmétique - alors qu’en Suisse par exemple il est considéré comme un complément alimentaire - il a toujours ses partisans qui lui attribuent de nombreuses vertus. L’Institut Katharos est de ceux-là. Elle s’est ainsi donnée pour mission de réhabiliter l’argent colloïdal en misant sur la recherche et la quête de l’excellence pour proposer des solutions et des gels qualitatifs.
L’argent colloïdal serait un puissant antiseptique détruisant plus de 650 pathogènes d’après le Dr Margraf. De façon générale, l’argent serait efficace sur les maladies d’origine infectieuse (microbes type virus, bactérie ou champignon). L’argent colloïdal aurait également des propriétés de régénération cellulaire, il faciliterait par exemple la cicatrisation. Il existe 3 modes d’administration pour l'argent colloïdal liquide : interne, externe et nébulisation. Seule son utilisation externe est recommandée par les autorités européennes, car son assimilation par la peau est jugée très satisfaisante.
Il a été estimé que les Américains mangeaient l'équivalent de 50 à 100 microgrammes d'argent au début du 20ème siècle. Du fait de l'agriculture intensive et l'ensemble de ses pesticides, engrais synthétiques, fongicides, insecticides, les sols se sont considérablement appauvris. A tel point qu'aujourd'hui, d'après l'OMS, un habitant ingère en moyenne seulement 7 microgrammes par jour, soit 7 à 15 fois moins qu'il y a 100 ans. Par ailleurs, suite à l'analyse des minéraux présents dans les cheveux, le Dr Becker a fait un lien direct entre la maladie et la déficience de consommation d'argent. Pour revenir au niveau du début 1900, il faudrait donc consommer entre 43 et 93 microgrammes par jour.
L'institut Katharos ne recommande pas, pour l’instant, l'ingestion d'argent colloïdal bien qu'il n'y ait pas d’effets secondaires. En axant son activité exclusivement sur l’argent colloïdal, l’Institut se donne pour mission de le faire mieux connaître et de le démocratiser. L’Institut se démarque de ses concurrents par des choix forts en matière de qualité et de sécurité. L’équipe du laboratoire s’est basée sur des travaux scientifiques pour choisir la concentration idéale : 40 PPM (parties par million) d’argent, soit 40 milligrammes d’argent par litre d’eau. Tous les produits sont fabriqués en France, dans son laboratoire d’Aix-en-Provence. Pour Jean Vacca, qui a fondé l’institut, c’est une fierté : celle de fabriquer un produit noble qui a des bénéfices sur la santé.
- Jean Vacca -