A l’insu de son plein gré, Jacques Chibois a déjà marqué de son empreinte l’histoire de la gastronomie azuréenne. D’abord à Cannes où il a été le premier Chef étoilé de la Croisette pour le compte du Groupe Lucien Barrière puis à Grasse où il a eu l’audace de s’installer, en dépit d’un certain scepticisme ambiant. En cela, il devenait du même coup le premier Chef propriétaire de la Côte d’Azur.

C’est Christian Willer qui le premier avait mis le restaurant du Martinez sur le chemin des étoiles. Il en obtenait deux en 1991. Elles sont pérennes depuis cette date-là. Christian Sinocropi a succédé à son mentor dont il a été cinq ans le second. Cela fait bientôt dix ans qu’il maintient brillamment les deux étoiles attachées à la Palme d’Or, seul établissement cannois à maintenir à ce niveau d’excellence, la restauration de luxe.

« Manger est un acte citoyen. Pourquoi ? Parce qu'en choisissant de manger tel produit ou tel autre, de telle ou telle façon, nous avons le pouvoir et le choix de détruire notre santé et celle de la planète », explique le chef tri-étoilé devenu, au fil de ses expériences diverses, variées et internationales, une des personnalités le plus marquante en son domaine. Il nous invite ici à nous interroger sur ce que nous mettons dans nos assiettes, ce que nous achetons au marché ou en Grandes surfaces. Il nous invite à nous questionner sur nos obligations envers la planète, aux conséquences sur le moyen terme de notre mode de vie alimentaire sur la qualité voire l’espérance de vie des générations à venir.

Dan Wilsher, Professeur de droit à la City, University of London, ne le pense pas... La loi du marché imposera son pragmatisme. La mondialisation et la loi de la jungle ont encore de beaux jours devant eux...

Une contrubution de Lucas Léonardi, Directeur Général de Up’n BIZ...

Laurent Mauduit, cofondateur de Médiapart, a fait main basse sur le Prix Assises du journalisme 2017.

Le Club de la Presse Méditerranée 06 a réalisé la gageure de réunir deux professions différentes ayant comme point commun celui de diffuser des informations… avec des finalités et des cahiers des charges bien distincts. Il n’est pas rare, disons même de plus en plus courant que les étudiants qui sortent des écoles de journalisme, ne trouvant pas de débouchés dans un secteur en souffrance, se mettent au service d’entreprises privées ou institutionnelles qui veulent… communiquer.