C'est le temps des vacances mais, il n'y a pas vraiment de saison pour les voyages de nos élites... qui se déplacent à l’œil. Lorsque c'est dans le stricte cadre de leurs attributions et de leurs mandats que généralement ils cumulent, on ne peut rien dire, même si parfois on se demande pourquoi autant de va-et-vient, va-et-vient qui coûtent très cher aux contribuables. Mais lorsque c'est pour convenance personnelle, c'est une autre histoire.

Probablement le plus ancien Palais encore debout de la capitale du Portugal. Chargé des histoires qui ont façonné celle de ce pays, il a été sauvé d’une lente descente aux enfers par Frédéric Coustols et sa femme Maria qui en est la principale animatrice. Devenu un lieu d’exception, il s’ouvre un peu plus à la culture avec la création d’un Club spécifiquement dédié à toutes ses déclinaisons.

Cannois depuis l'âge de deux ans, il fut le spectateur et occasionnellement l’acteur des activités journalistiques de son père, Fernand. En 2004, il met en ligne le magazine « Paris Côte d’Azur », créé en 1959 par son père, lui assurant ainsi sa continuité.

Ce petit village tranquille des Alpes-Maritimes ne compte guère que 97 habitants sur les registres de la mairie mais nombre de promeneurs du dimanche le connaissent. Pour les randonneurs, c’est un camp de base vers le pic de Courmettes et le plateau de Saint Barnabé ou, en poussant plus loin, vers Coursegoules. Un passage aussi pour ceux qui fréquentent le GR51. Pour Jocelyne Mas, c’est un lieu propice à la méditation, au ressourcement. Voici un bref extrait tiré de son livre « De la Côte Turquoise à la Côte d'Azur ».