Cannes et Mandelieu lèvent leurs verres…

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et trinquent.

La Convention Internationale des Vins & Spiritueux se tient à Cannes, à l’hôtel Martinez très exactement, du 19 au 22 février (cliquez ici). Au cours de ces quatre journées, les producteurs de vins et spiritueux présentent les fruits de leur travail aux acheteurs venus du monde entier.

Une opportunité pour ces différents acteurs de se rencontrer, de déguster et de signer des contrats commerciaux plus ou moins… juteux. Grâce à quoi, les vins et spiritueux produits en France, en Espagne, en Italie, au Portugal… se retrouveront chez les cavistes ou sur les tables des restaurants d’Europe, d’Amérique du Nord ou du Sud et d’Asie.

Dans les chambres du palace de La Croisette, transformées en espaces de dégustation, les producteurs font circuler le taste-vin et les carnets de commandes. Avec, ces dernières années, un marché en croissance en Asie et dans les pays de l’Est, les professionnels espèrent que la crise internationale n’affectera pas de manière importante le marché des vins et spiritueux.

Avant les présentations des millésimes par les vignerons du Sud-Est, qui, traditionnellement ont lieu en mars pour les Côtes de Provence et début avril pour les Coteaux Varois, les Vignerons de France organisent pour la 4ème année consécutive, un Salon Vinomedia (cliquez ici) qui se tiendra du vendredi 27 février au dimanche 1er mars inclus au Palais Europa de Mandelieu.

Une belle occasion de déguster les productions des vignerons français qui, en plus, initient le public à leur passion, tout en proposant les meilleurs produits de terroir à des prix des plus attractifs.

  • Billet d’humeur : Il nous a été donné récemment de déjeuner dans une guinguette au Cannet, le Jardin de Madeleine, pas très loin de la frontière cannoise. Si la cuisine, très traditionnelle, est bonne et copieuse, le décor avenant, l’addition est très, très douloureuse. Pour un dos de cabillaud en aïoli, un filet d’agneau aux cèpes frais, une bouteille de vin et un café, cela a coûté 55 €. Si, on s’aventure vers entrée, plat, dessert, le ticket sera de 40 €. Une clientèle de personnes âgées semble assidue, persuadée, comme le prétend la patronne-cuisinière, que ce qu’elle fait est tellement bon qu’elle ne va jamais chez ses confrères. Vanitas, vanitatum ! Cherchez l’erreur…