Un choix difficile entre un marteau et une enclume sans savoir qui va tenir le manche, l'armée ou les islamistes ? Le vote des femmes et des jeunes fera-t-il la différences, sachant qu'ils ont en principe plus à gagner d'un côté que de l'autre ? Mais les jeunes, ceux qui avaient fait la Révolution sont déçus. Ils ne croient plus en un miracle arabe. Quand aux coptes orthodoxes, ils sont à juste raison, très inquiets.

Pour Jean-Jacques Beltramo, il ne fait en tous les cas aucun doute que le président a découvert un nouveau baragouin.

La république hellénique peaufine sa stratégie. Si je reste qu'est-ce que je gagne, si je parts, qu'est-ce que je perds ?

Pour Jean-Jacques Beltramo, la palme qui récompense le film choisi par le jury du Festival ne travaille que quelques jours par an, le reste du temps, elle se repose, rangée dans un tiroir... Il est vrai que lorsque la météo s’en mêle, mieux vaut qu’elle ne traine pas dehors. Les palmes de ces palmiers de la plage du Midi, le savent bien. Les pieds dans le sable, ils se voient déplumés les équinoxes venues...

Les écolos n'ont pas hésité entre François et Éva... Ils ont élu un Président et un ministère au rabais. Les dossiers resteront encore au chaud au fond des tiroirs. La problématique du nucléaire en Iran et en Corée du Nord est certes matière à discussion mais la sécurité des centrales françaises ne l'est pas moins...

Tous les observateurs et les sondages le confirment, les « banlieues populaires » ont voté en masse pour la gauche et, au second tour, pour François Hollande. On pourrait ajouter, en toute logique, puisque leurs habitants avaient, au vue des promesses faites, plus à y gagner qu’en votant la Droite. Plus étonnant, la mobilisation importante (à Clichy-sur-bois, Hollande fait 72%). Des voix qui, en prenant en compte les résultats et le peu d’écart entre le premier et le second, ont fait la différence. Ce sont des Français issus d’une immigration récente, souvent titulaires d’une double nationalité, qui ont donné à la France leur second président de gauche depuis l’instauration de la Vème république. CQFD !

Pour arriver aussi haut, il faut des budgets colossaux. Il faut aussi avoir beaucoup d'amis, au moins de circonstance. On en trouve dans les partis politiques qu'on fréquente. Quoique, on y trouve aussi beaucoup des concurrents prêts à tout pour vous brûler la politesse. Mais depuis quelques années, c'est sur les réseaux sociaux, Facebook, Tweeter et autres qu'on peut recruter le plus et le plus facilement des amis. Certains réseaux sont mêmes devenus selon Jean-Jacques Beltramo, des réseaux... socialos.