Dès le 12 mai, les murs de la ville s’orneront à nouveau de gigantesques photographies des plus grandes stars du cinéma mondial. En relation, bien entendu, avec le Festival de Cannes qui s’y tiendra jusqu’au 23 mai prochain. Une exposition qui se prolongera d’ailleurs jusqu’au 12 juillet pour le plaisir des yeux des touristes, cinéphiles ou non, lecteurs ou non des magazines people qui nourrissent ou non, nos fantasmes… Cette installation ou nos vedettes sont plus grandes que nature, est composée des belles créations du très talentueux photographe Britannique Lorenzo Agius, de l’agence Contour de Getty Images. On pourra ainsi détailler les moindres éléments qui font la perfection et l’imperfection de stars tels Diane Kruger, Clive Owen, Robert Downey Jr, Sienna Miller, Sophie Marceau, Juliette Binoche, Kristin Scott Thomas…

- en avant première, une des photos qui feront le mur – Nicole Kidman et Ewan MacGregor -

Au total 17 chefs d’œuvre pavoiseront les principaux monuments de la ville et de la rue d’Antibes. Ainsi, Sophie Marceau sera sur le fronton de l’Hôtel de Ville, tandis que Diane Kruger rehaussera l’hôtel Cannes Riviera… 8 mètres sur 10.

Le joaillier Jaeger-LeCoultre qui s'associe à cette exposition photographique de qualité, en profitera pour accueillir d’autres productions photographiques du maître dans sa boutique, située 27 rue d’Antibes.

Lorenzo Agius est un des photographes les plus renommés de l’agence Contour. Il est l’un des portraitistes les plus appréciés des stars du cinéma, de la mode et de la chanson internationales. Souvent à leur demande, il réalise des clichés de Tom Cruise, Beyoncé, Madonna, Claudia Schiffer, Heidi Klum, Johnny Depp, Richard Gere, Michelle Pfeiffer ou Kevin Spacey. Son approche de l’art du portrait est la garantie d’une œuvre originale et raffinée.

« J’ai eu la chance extrême – dit-il - de rencontrer et de photographier quelques unes des plus grandes célébrités. Pour moi, un portrait ce n’est pas juste prendre une photo, c’est capturer des émotions, pourquoi quelqu’un sourit, rit ou pleure. C’est aller dans leur intimité, pas juste dans ce qu’ils reflètent. Ce qui m’intéresse, c’est l’essence même de la personne. »

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