- Diane Kruger et Joshua Jackson -

On l’avait vu à Cannes, en 2003, recevoir le Trophée Chopard, qu’elle partageait avec Gael Garcia Bernal. Un prix destiné à encourager les jeunes acteurs de cinéma. Sa carrière était déjà bien avancée et on devait la retrouver avec régularité sur les marches du Palais. Notamment en 2007, où elle fut une parfaite maîtresse de cérémonie pour la clôture du 60ème Festival du Film.

Cette année, elle se met au service de l’horloger-bijoutier, Jaeger-LeCoultre. Partenaire officiel pour la quatrième année consécutive de la Mostra Internationale d’Art Cinématographique, il y présente un bijou exceptionnel qui avait besoin d’un faire valoir de luxe… Diane Kruger, égérie de la célèbre marque a donc eu le privilège de découvrir et de la porter en avant-première cette merveille.

Dénommée « Le Lierre », elle est composée d’une montre-manchette, d’un collier, d’une paire de boucles d’oreilles et d’une bague. Signée par Giampiero Bodino - directeur artistique de Richemont – il détient le nombre record de 12 000 pierres précieuses, soit environ 160 carats et deux diamants jaunes d’exception – un diamant ovale de 5,19 carats sur le collier et un diamant ovale de 2,32 carats sur la bague…

Cannes a sa Palme d’or, Venise a son Lion d’or qui cette fois sera accompagné par un Lierre de… diamants.

• La joaillerie s’inscrit dans une longue tradition chez Jaeger-LeCoultre. Dès 1925, la Manufacture ouvrait la voie aux minuscules montres rectangulaires pavées de diamants, si prisées dans les années folles. Dans cet esprit, l’excellence horlogère de la marque donnait naissance en 1929 à l’incroyable Calibre Jaeger-LeCoultre 101, qui détient toujours le record du plus petit mouvement mécanique jamais réalisé. À cette expertise, il faut ajouter celle du sertissage « neige et le rock setting » particulièrement difficile à maîtriser. Selon cette technique, les plus petits diamants blottis les uns contre les autres, se fondent avec élégance sur le boîtier des montres.