Un, dos, tres : les Jeux Olympique de la gastronomie azuréenne,

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à l’initiative d’un journaliste gastro…

Gérard Bernar est devenu, accompagné de sa femme Michèle, un incontournable de la presse spécialisée, celle qui met en valeur les professionnels de la restauration et éventuellement les amateurs, lorsqu’il propose par exemple, de primer les journalistes auteurs de la meilleure recette… Créateur d’une lettre d’information, l’E-mail gourmand puis d’un site Internet, ses rubriques sont envoyées à des milliers de passionnés qui, à un titre ou à un autre, vivent ou font vivre, la restauration et toutes les activités annexes.

Ces jours-ci, il proposait de récompenser ceux qui, chacun dans leur domaine, pouvaient être considérés comme les meilleurs acteurs azuréens. Une appréciation fugace, résultat du dépouillement des nombreuses réponses au questionnaire de Gérard Bernar. Réunis à Mandelieu, sauf deux absents excusés pour de… bons motifs, tous les récipiendaires étaient venus recevoir leur prix. Pour éviter le coup de pompe de 11 heures, les frères Raimbault avaient prévu un casse-croûte… dans la version l’Oasis.

  • 1, 2, 3 chefs cuisiniers :

Stéphane Raimbault - L’Oasis – Mandelieu La Napoule
Jean-Denis Rieubland - Hôtel Negresco - Nice
David Faure - Aphrodite – Nice

  • 1, 2, 3 chefs pâtissiers :

François Raimbault - L’Oasis – Mandelieu La Napoule
Jean-Michel Llorca - Le Moulin de Mougins – Mougins (en 2008)
Pascal Hairabedian - Vista Palace – Roquebrune Cap-Martin

  • 1, 2, 3 chefs sommeliers :

Christian Belmanne - Hôtel Belles Rives - Juan-les-Pins
Pascal Paulze - L’Oasis – Mandelieu La Napoule
Lionel Compan - Hôtel Negresco – Nice

  • 1, 2, 3 maîtres d’hôtel :

Philippe Caillouet – Hôtel Martinez - Cannes
Frédéric Kaiser – La Chèvre d’Or – Èze village
Olivier Novelli – La Chèvre d’Or – Èze village

  • 1, 2, 3 cuisiniers du futur :

Mauro Colagreco - Le Mirazur - Menton
Michaël Fulci – Les Terraillers – Biot
Jean-François Bérard - Hostellerie Bérard – La Cadière d’Azur

À la lecture des résultats, on ne peut parler de véritables surprises. Que des valeurs sûres et une sorte de confirmation de ce que beaucoup pensaient tout bas. Des absents peut-être qui auraient aimé en être ? La roue tourne et, la crise aidant, ils mettront demain à leur menu de nouvelles recettes, propres à séduire le public qui en veut de plus en plus pour son argent… Les gourmands et gourmets qui répondront l’année prochaine au succulent questionnaire de Michèle et Gérard Bernar, le valent bien !

Louise Dartigues